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Contamination interculturelle

l'odyssée migratoire

L’exposition photo l’Odyssée migratoire réalisée en plein air dans Vaudreuil-Soulanges s’inscrit dans une démarche collaborative ambitieuse, unissant différents partenaires autour d’une mission commune : sensibiliser aux réalités des personnes immigrantes et contribuer à la déconstruction de préjugés. Ce projet réfère à un déplacement souvent complexe, prolongé et significatif entrepris par des individus, généralement à travers des frontières. Ce concept évoque les nombreux défis, aventures et expériences qui accompagnent cette transition, souvent influencée par des facteurs tels que l’économie, la politique, les conflits ou la recherche d’opportunités et d’une vie meilleure. L’odyssée migratoire implique
souvent des ajustements, des obstacles logistiques, des bouleversements émotionnels ainsi que des rencontres avec de nouvelles réalités sociales et culturelles.

En mettant en lumière les histoires et les visages des personnes issues de l’immigration à travers des portraits captivants et des récits émouvants, les oeuvres aspirent à créer un dialogue inclusif et révélateur au sein de la communauté.
​En s’associant avec le Conseil des arts et de la culture de Vaudreuil-Soulanges, Réseaux a l’opportunité unique d’élargir la portée et d’enrichir l’exposition. En s’arrimant aux oeuvres d’artistes locaux, une perspective artistique diversifiée est offerte complétant et renforçant le message du projet. Cette collaboration transcende les frontières disciplinaires et culturelles, créant un espace où les différentes formes d’expression artistique convergent pour offrir une expérience immersive et engageante.

L’exposition photo met en lumière la richesse et la complexité des interactions interculturelles à travers le prisme des parcours migratoires. Ces photographies révèlent les moments de connexion, de partage et d’échange qui surgissent lorsque les frontières culturelles se dissipent,
laissant place à une véritable « contamination interculturelle ».

Le concept de cette exposition a été élaboré en collaboration avec L’Art de Capter par Josiane Farand, le Centre de services scolaire des Trois-Lacs, la MRC de Vaudreuil-Soulanges et la Ville de Vaudreuil-Dorion. La réalisation du volet Contamination interculturelle : l’Odyssée migratoire aura été rendue possible grâce à l’appui financier de Desjardins Vaudreuil-Soulanges, Monsieur Peter Schiefke, député fédéral de Vaudreuil-Soulanges et madame Marie-Claude Nichols, députée provinciale de Vaudreuil.

En unissant nos forces, nous cherchons à inspirer le changement, à promouvoir la compréhension mutuelle et à encourager un dialogue ouvert et respectueux au sein de notre communauté.

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À PROPOS DE RÉSEAUX


​​Créé en 1998, Réseaux est un organisme communautaire situé à Vaudreuil-Dorion oeuvrant en employabilité, en immigration et en entrepreneuriat. Depuis 2008, l’offre de services en immigration continue de prendre de l’expansion. Chez Réseaux, une expertise notoire dans l’accueil, l’installation et l’intégration socioprofessionnelle des personnes immigrantes est mise à la disposition de la clientèle immigrante. L’équipe est constituée de professionnelles dévouées qui croient en la valeur de l’accompagnement individuel, car chaque personne et chaque situation est unique. Réseaux se démarque par son approche globale dans le processus migratoire : de la recherche d’un logement adéquat à l’intégration dans la communauté d’accueil, en passant par le développement des compétences linguistiques et professionnelles. Par ailleurs, l’équipe en employabilité est constituée de conseillères en gestion de carrière d’expérience qui connaissent bien les employeurs de la région et leur réalité. Par la complémentarité de ces secteurs d’activités, les membres de l’équipe de Réseaux saisissent parfaitement les besoins des employeurs tout en ayant une compréhension approfondie de la situation et des défis vécus par les travailleurs étrangers.
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À PROPOS DE JOSIANE FARAND


​Josiane Farand, connue sous le nom de L’Art de Capter photographie, est une photographe éminente dans la région de Vaudreuil-Soulanges. La passion qu’elle voue à la photographie tire ses origines de son enfance, alors qu’elle consacrait des heures à explorer les pages de National Geographic. Ce qui a commencé comme une simple curiosité s’est métamorphosé en une véritable vocation, façonnant ainsi sa carrière photographique depuis plus de 35 ans.

Engagée au sein de sa communauté, son travail se distingue par une approche sensible et originale, une qualité qui se reflète magnifiquement dans ses photographies exceptionnelles. Passionnée par les voyages et les lieux uniques, elle offre une perspective singulière sur des destinations peu fréquentées à travers ses images, ses récits. Lors de ses explorations au Nicaragua, au Vietnam, en Europe, en Australie ou à Terre-Neuve, elle se plaît à plonger au cœur de la culture locale pour capturer chaque nuance; les habitants, la nature et l’architecture des lieux à travers l’objectif de sa caméra. Elle aspire à faire du travail documentaire une part de plus en plus centrale de sa vie professionnelle.

Ce projet d’exposition m’a offert une véritable opportunité d’explorer le monde sans quitter ma région. Véritable aventure humaine, j’ai eu le plaisir de rencontrer des personnes généreuses, sympathiques et profondément désireuses de partager leur histoire. Je ressors de cette expérience enrichie et reconnaissante de vous présenter un portrait de la diversité et de la richesse culturelle qui nous entoure.
Josiane Farand
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Photo : L'Art de Capter par Josiane Farand


​maria


​Maria rencontre Jesus alors qu’ils étudient tous les deux en génie civil au Venezuela, leur pays d’origine. La situation politique du pays, marquée par la répression et l’insécurité économique et personnelle, n’assure plus à la famille un avenir sécuritaire. Contraints par les circonstances, ils s’exilent en Colombie et poursuivent leur parcours professionnel. Cependant, ils se retrouvent dans un pays qui ne s’adapte pas aux migrants et perdent à nouveau leur sentiment de quiétude. Ils décident d’immigrer au Canada, même si cela nécessite plusieurs ajustements : adaptation aux hivers rigoureux, apprentissage d’une nouvelle langue et obtention de l’équivalence en ingénierie de l’Ordre des ingénieurs du Québec. La famille arrive au Québec juste avant la pandémie, ce qui retarde le début des cours de francisation. Maria et son mari acceptent des emplois temporaires tout en suivant des cours de français, essentiels pour leur intégration et l’obtention d’emplois correspondant à leurs qualifications professionnelles. Un processus qui s’échelonnera sur plusieurs années pour la famille. Leur fils s’adapte rapidement à l’école et révèle une passion pour le sport, particulièrement pour le soccer. Ils expriment leur gratitude envers le Québec pour les opportunités qui leur sont offertes et sont enchantés de découvrir la province au fil du temps.

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Photo : L'Art de Capter par Josiane Farand


​devi


​​Issue de la communauté tamoule, Devi et sa famille sont directement touchées par le génocide perpétré contre leur peuple. À la suite d’une attaque brutale à la machette, durant laquelle elle perd ses parents ainsi que son frère et sa sœur plus jeunes, Devi obtient l’autorisation d’immigrer au Canada. À son arrivée en 2001, on lui présente l’homme avec qui elle doit se marier et ils s’établissent à Montréal, puis à Vaudreuil-Dorion. Son processus de francisation demande de grands efforts. Malgré quelques déceptions avec des emplois temporaires, sa personnalité chaleureuse lui ouvre la voie vers une formation pour devenir préposée aux bénéficiaires. Elle effectue ensuite une formation supplémentaire. Maintenant, elle occupe fièrement un poste d’infirmière auxiliaire. Elle a surmonté d’immenses défis au cours de ses études dans son pays : environnement instable, maison sans électricité et absence de mobilier adéquat. Aujourd’hui, malgré plusieurs sacrifices, sa plus grande fierté est d’avoir donné à ses fils un accès à une éducation de qualité. Mathu étudie à l’université pour devenir ingénieur en informatique, tandis que Nithu poursuit son parcours collégial en technique informatique.

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Photo : L'Art de Capter par Josiane Farand


​rana


​​Rana, son mari et leurs enfants Adam et Tayma sont arrivés en 2023 après une attente de plus de 10 ans pour immigrer au Canada. De racines palestiniennes, Rana et son mari sont nés et ont grandi à Dubaï aux Émirats arabes unis. Rana est profondément marquée par l’histoire de ses grands-parents. Ils avaient été contraints de quitter leur commerce, leur terre et leur maison en Palestine à la fin des années 40. La famille s’était réfugiée au Liban avant de finalement s’établir à Dubaï. Malgré une éducation supérieure et des qualifications équivalentes, Rana ne pouvait bénéficier des mêmes opportunités d’emploi que ses compatriotes en raison de ses origines. Devant l’impossibilité d’obtenir la citoyenneté officielle aux Émirats arabes unis, Rana et son mari ont déposé une demande d’immigration au Canada pour se donner une chance de progression et d’égalité. Ils sont profondément attachés à leurs racines, aux traditions qu’ils entretiennent et qu’ils transmettent à leurs enfants. La famille s’intègre parallèlement très bien aux valeurs démocratiques et aux valeurs de la société québécoise. Pour sa part, Adam aspire à devenir joueur de soccer professionnel, tandis que Tayma rêve d’une carrière en tant que mannequin, policière ou médecin!

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Photo : L'Art de Capter par Josiane Farand


EURÉDICE


​​Établie en France après avoir obtenu son baccalauréat en chimie, Eurédice rencontre son mari, comme elle, originaire du Congo. Ils fondent une famille et travaillent dans des emplois fructueux. Lors d’un voyage au Québec, c’est le coup de foudre! En 2009, déjà familiers avec la langue française, ils décident de traverser l’Atlantique pour s’installer à Vaudreuil-Dorion. Eurédice poursuit sa carrière de chimiste dans l’industrie cosmétique, tout en rêvant de posséder sa propre entreprise. Elle s’inscrit à une formation en entrepreneuriat, une excellente décision puisqu’elle s’est retrouvée sans emploi à cause de la pandémie. Au bon moment, le type d’entreprise qu’elle convoitait s’offre à elle; elle devient entrepreneure. La solitude entrepreneuriale et la déstabilisation financière sont des défis inattendus. Déterminée et audacieuse, elle met tout son cœur dans la réalisation de son rêve. Pour Eurédice, le vrai bonheur réside dans les moments en famille, que ce soit en France, au Congo ou à Vaudreuil-Dorion!

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Photo : L'Art de Capter par Josiane Farand


KATARYNA


​​Dès qu’elle comprend, en plein milieu de la nuit, que ce sont des missiles qui illuminent l’intérieur de son appartement à Kiev, Kataryna réveille son mari Maksym et leurs quatre jeunes enfants. Ensemble, ils courent jusqu’à la gare. C’était le premier jour de l’invasion de l’Ukraine, en février 2022. Ayant déjà fui la Crimée en 2014, l’avocate spécialisée en immobilier et le chargé de projet en construction menaient une vie confortable. Par peur que le conflit dégénère davantage, ils s’exilent en France puis en Italie, avant d’entreprendre les démarches pour leur immigration au Canada. Dès leur arrivée, ils s’investissent dans les cours de francisation. Maksym travaille à deux emplois à temps plein, de soir et de nuit, permettant à Kataryna de travailler à temps partiel de jour tout en s’occupant des enfants. Elle aspire à maîtriser parfaitement le français et à retourner aux études pour reprendre sa pratique en droit. Les enfants, Serafyma, Lukas, Mariam et Sarra, s’intègrent à leur nouvelle vie et se créent de nouvelles amitiés. Le stress post-traumatique engendré par leurs expériences est toujours présent. Ils sont profondément reconnaissants envers toutes les personnes et les organismes qui les ont aidés à s’installer et à reprendre une vie normale ici.

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Photo : L'Art de Capter par Josiane Farand


SAMUEL


​​L’histoire de cette famille colombienne est entamée par Claudia, animée du profond désir de voir sa famille immigrée au Canada. Anderson, le père, fait le premier pas en 2022, en venant occuper un emploi de machiniste dans la région. Au printemps 2023, Samuel rejoint son père, avec la promesse de pouvoir poursuivre ses études au niveau secondaire. À son arrivée, leur rêve se heurte à une réalité cruelle : des erreurs administratives entravent la scolarisation de Samuel, une erreur de date l’empêche d’intégrer l’école. Ce coup du sort intensifie leur stress. Pendant ce temps en Colombie, la mère de Samuel et sa soeur Aisha, attendent avec impatience la réunion familiale. Les mois s’écoulent, chaque procédure administrative semble plus ardue que la précédente. Après une attente interminable, la famille se retrouve finalement. Malgré les défis herculéens, l’unité et la détermination ont permis à cette famille de traverser les tempêtes. Aujourd’hui, Samuel et Aisha sont inscrits à l’école. Tous les quatre poursuivent les cours de francisation en s’intégrant dans leur nouvelle vie québécoise imprégnée d’espoir et de promesses pour l’avenir. Leur parcours est un témoignage poignant de la résilience et du courage nécessaires pour reconstruire une vie loin de leur terre natale.

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Photo : L'Art de Capter par Josiane Farand


hamidou


​​En 2015, Hamidou quitte La Guinée à l’âge de 14 ans et entreprend un voyage périlleux, déterminé à sortir sa famille de la pauvreté. Il s’aventure sur des routes dangereuses à travers plusieurs pays d’Afrique. Son périple a été marqué par d’énormes défis, des allers-retours risqués et des dangers inimaginables. Intercepté, il est jeté en prison, connaissant ainsi l’horreur des centres de détention en plein désert. Déporté et de retour à la case départ, il prend un emploi de taxi-moto. Un important accident survient et lui cause une fracture du pied qui laissera des séquelles. En 2018, Hamidou, désormais marié à Ismatou, décide de reprendre la route toujours dans l’espoir de trouver une vie meilleure. À nouveau et malgré les multiples obstacles et les emprisonnements répétés, il travaillera sans relâche pour s’affranchir, il rejoindra l’Algérie, où la chance lui sourit enfin! Il arrive en juin 2023, renoue avec sa passion pour la mécanique en travaillant pour une entreprise locale. Pour lui, c’est un nouveau départ et la concrétisation de la promesse faite à sa famille. Récemment, Ismatou l’a rejoint. C’est le début d’une vie remplie de promesses et d’espoir. Elle espère reprendre son métier d’infirmière dans ce nouveau pays qui est désormais leur foyer.

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Photo : L'Art de Capter par Josiane Farand


HARNOOR ET TEGHPREET


​​Pour toute personne de nationalité indienne, étudier au Canada est souvent considéré comme un privilège. Gurpreet Singh a saisi cette opportunité en 2006 pour poursuivre des études supérieures en informatique et technologie. En 2011, il retourne en Inde pour épouser Tarundpreet, choisie par sa famille, et c’est le coup de foudre. L’arrivée de leurs filles, Harnoor en 2013 et Teghpreet en 2017, confirme au couple leur volonté d’offrir un avenir sans les contraintes éducatives traditionnellement réservées au genre féminin dans leur pays d’origine. Désireux d’intégrer des activités physiques dans la vie de leurs filles, les parents les initient rapidement à plusieurs sports. Cependant, c’est le hockey qui les captive. Ensemble, elles s’encouragent avec détermination pour se faire une place dans un sport considéré comme étant réservé aux garçons. Cette activité exige de nombreux sacrifices de la part de la famille : des ateliers de perfectionnement, des tournois et des saisons de hockey prolongées. Harnoor et Teghpreet nourrissent le rêve de jouer un jour professionnellement, suivant les traces de leurs héros, Sidney Crosby et Caroline Ouellette. Déjà, à l’âge de 11 ans et 8 ans, elles incarnent l’esprit du hockey québécois : la passion, la détermination et le désir constant de repousser les limites.

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Photo : L'Art de Capter par Josiane Farand


DAVID ET LEYLA


En 2004, le père de Leyla répond à une petite annonce pour un emploi en ébénisterie au Québec. Confronté au chômage dû à la crise économique qui s’éternise en Uruguay, il entreprend les démarches pour immigrer au Canada. Leyla, alors âgée de 13 ans, est bouleversée par ce déménagement. Elle arrive dans un environnement étranger à l’aube de son adolescence. Parallèlement, à l’hiver 2013, David quitte la Colombie en quête de meilleures opportunités professionnelles et personnelles. Aspirant à une carrière dans l’éducation, il rejoint l’Université de Montréal pour se spécialiser en études hispaniques. En 2017, il rencontre Leyla dans le cadre de ce programme. Leur amitié, nourrie par des passions et des origines communes, se transforme en une tendre complicité. Ensemble, ils bâtissent leurs carrières tout en restant fidèles à leurs racines. Ils fondent une famille, accueillant Leandro en 2021 puis Isabella en 2024, comblant leur foyer de bonheur. David enseigne l’espagnol avec passion, partageant sa langue et sa culture avec ses élèves. Leyla, quant à elle, travaille dans l’accompagnement d’employés immigrants originaires de l’Amérique du Sud. Ensemble, ils nourrissent le même rêve, celui d’acquérir une maison pour voir grandir leur petite famille.

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Photo : L'Art de Capter par Josiane Farand


prak phalla


Provenant d’une famille éduquée du Cambodge, Prak Phalla, devenu orphelin, se voit contraint de parcourir une centaine de kilomètres à pied, marchant jour et nuit sur un parcours périlleux pour atteindre la Thaïlande. Interné dans différents camps de détention, il réussit néanmoins à y fonder sa famille et à enseigner le français aux officiers japonais. En 1980, sa demande d’immigration est retenue par le Canada. Résilient et déterminé, Prak Phalla, accompagné de son épouse Sun Kim Heang et de leur fille de trois mois, ils arrivent au pays avec l’espoir comme seul bagage. Le couple travaille sans relâche, acceptant plusieurs petits emplois pour subvenir aux besoins de leur famille. Ils se lancent également dans la création de divers commerces, naviguant entre succès et échecs. Ils sont confrontés aux défis de l’adaptation à la vie occidentale. Père de quatre enfants, aujourd’hui la grande famille compte également six petits-enfants. Ils partagent fièrement leur culture et leur histoire en possédant un restaurant aux saveurs authentiques de leurs origines cambodgiennes. Véritable pont entre les générations et les cultures, ils transmettent les recettes traditionnelles préparées avec amour pour le plus grand bonheur de nos papilles gustatives.
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