ART & CULTURE VAUDREUIL-SOULANGES
  • Accueil
    • ACTUALITÉS >
      • Nouvelles
      • CALENDRIER
  • Appels de projets
  • RÉPERTOIRES
    • ARTISTES PAR MUNICIPALITÉ
    • ARTISTES PAR DISCIPLINE
    • ORGANISMES
  • CULTURE VIRTUELLE
    • OFFRES CULTURELLES
    • GALERIE VIRTUELLE >
      • TRACE 2019-2020
      • TRACE 2020-2021
      • TRACE 2021-2022 >
        • Gabrielle Lalonde
        • Marie-Soleil Poliquin
        • Isabelle Thibert
        • Natacha Marleau
      • TRACE 2022-2023 >
        • MARYSE HARVEY
        • STÉPHANIE VIENS
        • ÉMILIE PARENT
        • CHANTAL BOURQUE
        • ESTELLE PARYNZEWSKI
      • TRACE 2023-2024 >
        • Julie Martel
        • Jade Cousineau
        • Valérie Trudel
        • Sylvie Lavallée
        • Véronique Dubé
      • Ces paysages qui nous habitent
      • TERRE-MAIRES 2
      • LA MIE
    • BOITE À OUTILS
  • PROGRAMMES
    • PROGRAMME DE TOURNEE >
      • PROJET ARCHIPEL
      • La Danse des Mains
    • PROGRAMME DE BOURSES >
      • BOURSES 2021
      • BOURSES 2022
      • BOURSES 2023
      • BOURSES 2024
  • DEVENIR MEMBRE
  • À PROPOS DE NOUS
    • CA (équipe)
    • Réalisations
    • Politique culturelle
    • Gouvernance
  • Contact
  • TRACE 2024-2025
    • Jacinthe Durand
    • Ghyslaine Payant
    • Stéphane Falardeau
    • Marie-Pier Gamache
    • Annika Diehl
    • Jean-Philippe Vachon
  • CONTAMINATION CULTURELLE 2025

ces paysages qui nous habitent


Ces paysages qui nous habitent est un projet de co-création

entre l’artiste Audrey Sambeau et des citoyens de Vaudreuil-Soulanges.




implication citoyenne



Chaque participant a rencontré l’artiste dans un lieu qui lui est important et a partagé en quoi ce paysage lui est cher.
Chaque citoyen a par la suite réalisé une œuvre sur un carton blanc, inspirée du paysage en question et de ce qui a été révélé durant la rencontre.

Suite à ce rendez-vous, l’artiste a réalisé une œuvre inspirée du paysage raconté, qui sera ajoutée en transparence à l’œuvre du citoyen.
Superposées, l’œuvre de l’artiste et celle du citoyen donnent ainsi une lecture croisée du paysage, mais aussi, un peu, du participant.

« Je réalise peu à peu que, dans bien des cas, ce n’est pas une interprétation du paysage
vu par les participants qui se dessine sous mes doigts, mais leur portrait, en quelque sorte,
fait à partir de ce que j’ai retenu d’eux, de leur personnalité et de la vision qu’ils ont
de leur environnement.

La façon dont ils me partagent le paysage et la raison pour laquelle ils l’ont choisi en dit beaucoup
sur eux-mêmes. Ce que je retiens des paysages est surtout en lien avec les récits qu’ils ont permis
de dévoiler. »

- Audrey Sambeau

citoyens participants



aline levac-saint-denis
et lucie farand

Aline et Lucie m'ont donné rendez-vous
à l'église de Saint-Clet, récemment acquise
par la ville pour en faire un lieu propice
à accueillir toutes sortes d'activités culturelles et communautaires.

Elles m'invitent à porter mon attention
sur la rosace de l'église : deux paires de lignes perpendiculaires se croisant au centre, entourées d'un cercle.

Curieusement, ces éléments géométriques rappellent la position de l'église
dans ce village, elle qui est à la croisée
des deux routes principales et qui,
par les activités qui s'y déroulent, tente
de rassembler la communauté.

Photo

Photo


ATHANASIA ANTONOPOULOS
ET TALIA MARTIN

Athanasia et sa fille Talia ont choisi
un lieu central et significatif dans leur vie quotidienne : le parc Olympique de Pincourt.
"This place has a heart", me dit Athanasia.

Ici, on est justement au coeur d'une vie communautaire et sportive qui bat au ralenti
depuis la pandémie, mais qui est le point
de convergence de tellement de souvenirs
où s'entremêlent les parties de baseball,
la natation, la glissade l'hiver, les cerfs-volants,
les joggeurs, les marcheurs, les observateurs,
les fêtes d'anniversaires, et même une éclipse solaire.

Toutes ces activités rassemblent différents cercles sociaux, famille et amis. Elles créent un puissant sentiment d'appartenance.


carole marcoux

En passant sur la montée Saint-Robert,
là où la vue se dégage, offrant un panorama surplombant la carrière Meloche,
Carole s'arrête presque tous les jours observer ce qui se passe au "lac aux canards",
comme elle l'appelle. Elle vient y chercher
sa surprise. Elle aime "prendre le temps
de regarder qu'est-ce qui est différent aujourd'hui", voir les changements
dans le paysage, observer les gens
et les nombreuses espèces d'oiseaux.

"Ça, tu regardes ça, pis ça vaut
ben des pilules", me dit-elle. En répondant
à l'une de mes questions, elle se rend compte qu'elle n'est jamais allée sur le site qu'elle contemple depuis son point d'observation, d'où son regard traque sa surprise du jour. C'est pourquoi le paysage qu'elle me partage m'évoque une scène de théâtre ou un grand plateau de cinéma, vu en plongée.
Photo

Photo


caroline forget

Caroline me rejoint à un banc sur le chemin
des Chenaux, à Vaudreuil-Dorion, d'où l'on peut admirer un splendide point de vue sur la baie
de Vaudreuil.

"Le petit chemin des Chenaux est magique",
me dit-elle. Elle y vient tous les jours marcher.
Depuis le décès de son père en 2019, elle marche
et apprécie tous les détails sur sa route pour lui,
qui aimait tant la nature. C'est sur ce chemin
que l'émotion est si forte que les larmes montent
aux yeux, parce que les paysages qui s'y déploient sont magnifiques, que la vie est tellement belle,
et qu'elle se dit qu'il rate tout ça. Malgré son absence, il l'accompagne dans sa marche quotidienne.

Il est là, avec elle qui le transporte dans son coeur.


denise bergeron

Denise m'accueille à ma sortie de la voiture, stationnée à côté du terrain de tennis du Parc Bellevue, en face de chez elle. Madame Tennis, comme on la surnomme, y règle quelque chose, une tasse de café à la main. "Audrey?" Elle prend les devants, m'invite à traverser la rue pour nous installer sur ses chaises berçantes, sur son porche, d'où nous avons une magnifique vue d'ensemble du parc. Le parc, c'est un peu un prolongement du terrain devant sa maison. C'est l'aire de la femme politique, très impliquée dans sa communauté, que tout le monde connaît et salue sur son passage. Ce qu'elle voit dans ce paysage rayonne sur toute sa personne : convivialité, jovialité. "Si c'est beau, ça rend heureux", dit-elle. Elle me montre sa cour arrière. Là, dos au parc, en compagnie des oiseaux, elle peut apprécier un peu d'intimité. C'est comme si Denise incarnait ce territoire double, celui de la vie publique et de la vie privée. Et elle adore ça.
Photo

Photo


ginette flynn

J'ai rendez-vous à Les Coteaux, où je rencontre Ginette qui m'invite à me poser sur ses chaises Adirondack dans sa cour arrière offrant
un splendide panorama sur le lac Saint-François. Ginette vit tout à cet endroit : les hauts et les bas. Elle me parle de son regard sur la nature qui a évolué avec le temps. Lorsqu'elle était jeune,
elle ne réalisait pas la chance qu'elle avait;
la beauté de la nature était acquise, ça faisait partie du décor. Avec l'âge, elle l'apprécie davantage,
et elle en a plus besoin aussi.

C'est donc avec le temps, mais aussi en voyageant, en voyant autre chose, qu'elle s'est affranchie
de la pensée comme quoi tout serait mieux ailleurs et qu'elle a appris à apprécier ce qui se trouve chez elle. Elle me dit que son mari a eu la chance d'avoir pu vivre jusqu'à la fin de sa vie ici, dans cette maison dont il a fait les plans. Elle aussi souhaite
de tout coeur y passer sa vie.


ginette lalonde
et lorraine trottier

Ginette et Lorraine, à la fois belles-soeurs
et voisines, m'accueillent chez Lorraine,
en bordure de la rivière Beaudette. Elles me font
le récit du lieu choisi : l'ancienne maison de Ginette, située de l'autre côté de la rivière.

Au fil de leurs paroles, un paysage familial ressurgit du passé, au temps où les enfants étaient encore des enfants. Elles me racontent tous les beaux souvenirs dont est chargé cet endroit.
Elles me montrent des photos, des vraies de vraies photos vintage. Elles mesurent la chance qu'elles ont de pouvoir profiter de grands espaces, où leurs enfants ont pu jouer dehors, pêcher, jardiner, pique-niquer. Toutes ces activités ne coûtent rien et laissent des traces indélébiles dans la mémoire. Encore aujourd'hui, elles me disent que ça ne prend pas grand chose pour avoir du fun,
pour créer son propre plaisir.

La proximité permet la spontanéité. Ici, tout coule comme la rivière : tout est plaisir d'être ensemble, et rien n'est une obligation.
Surtout, tout est amour.
Photo

Photo


ian macleod

Ian me donne rendez-vous dans le stationnement
du Wal-Mart de Pincourt, fermé définitivement
depuis 2019. Quand on pense "paysage", ce sont souvent les espaces naturels, plus ou moins aménagés, qui nous viennent à l'esprit. Ian me propose d'observer un paysage façonné par la civilisation
et que ne s'en cache pas, et "quoi de plus civilisé qu'un Wal-Mart fermé", me dit-il.

Durant notre promenade, il me parle de ce qu'il appelle ces "histoires personnalisées" dont il a été témoin depuis les 45 ans qu'il habite sur l'île Perrot : les entreprises familiales locales qui se sont succédé, le réseau cyclable, etc. Il me dresse un portrait
des grandes lignes de l'évolution du village
de Pincourt, qui reste encore aujourd'hui un endroit où tout le monde se connaît et s'entraide.


lorraine messer

Nous marchons ensemble jusqu'à un accès
au lac des Deux-Montagnes, où nous nous asseyons sur des roches. Le vent crée des vagues sur le lac et transporte des effluves d'algues
et de poisson. On se croirait presque au bord
de la mer.

Lorraine est une toute petite femme qui s'implique activement dans de grandes choses, dont l'ouverture de la maison Félix-Leclerc.
Ce lac était important pour Félix, m'informe Lorraine. J'ai d'ailleurs un peu l'impression
qu'il est avec nous.

Elle me parle de ce bout de territoire
et de son histoire. "C'est mon refuge", me dit-elle, elle qui vient y trouver le calme et qui apprécie sa chance d'avoir tout ça près de chez elle.
Photo

Photo


MARIE-PIERRE D'ANJOU

Originaire de Notre-Dame-de-l'Île-Perrot,
Marie-Pierre résidait sur le bord de l'eau.
S'il s'agit du rêve de plusieurs, elle, ce dont elle rêvait, c'était d'habiter en montagne, dans les Laurentides ou à Charlevoix. Aujourd'hui, elle
a littéralement la forêt du Mont Rigaud dans sa cour arrière. Elle réalise que l'on n'a pas besoin d'aller
très loin pour se dépayser, pour avoir l'impression
de changer de région.

Ici, la forêt est un refuge où se couper de l'agitation du monde et apprécier la tranquillité. Entourée d'arbres matures, elle a l'impression d'être au coeur de quelque chose de vrai, d'authentique,
d'un territoire qui n'a pas été trop aménagé
par l'humain.


marika et mylianne

Je rencontre mère et fille sur un banc de parc,
au coeur du village de Saint-Polycarpe, d'où l'on
a un point de vue global sur le lieu choisi :
Pizza Giny. Cet endroit est plus qu'un restaurant
et bien plus qu'une bâtisse, voyez-vous. C'est un lieu chargé de rituels et d'histoires personnelles. C'est aussi l'entreprise que Marika a achetée
en 1996, alors qu'elle était toute jeune, qu'elle a opérée pendant 22 ans et qu'elle loue aujourd'hui à une serveuse qui y travaillait déjà. Elle n'a jamais changé le nom de la pizzeria, nommée ainsi par l'ancienne propriétaire. C'est là qu'elle a fêté certains anniversaires de ses enfants, qui parfois l'aidaient en cuisine et que tous les clients connaissent. Pour Mylianne donc, la fille de Marika, Pizza Giny a toujours fait partie de sa vie. Situé juste à côté de l'église, le restaurant est central dans le village, mais aussi dans l'histoire personnelle, professionnelle et familiale
de mes interlocutrices.
Photo

Photo


mélanie lafrance

Mélanie m'accueille dans sa cour arrière
pour me parler du Parc Bellevue. Casanière,
elle adore travailler sur ses projets artistiques
à la maison. Là où elle se sent aussi à la maison,
c'est à la plage. C'est son "happy place". Il n'est pas nécessaire d'y être; elle n'a qu'à fermer les yeux
et penser au sable, à la brise et à l'eau pour se remplir de joie. "Le verre va déborder d'amour." C'est là qu'elle se sent centrée. Elle appartient
à cette typologie de paysage depuis longtemps

Elle me parle d'une photo d'enfance. Elle est
à Long Sault Parkway, où elle va en vacances
en famille depuis l'enfance. Elle a peut-être deux ans sur la photo. L'expression sur son visage laisse savoir aux adultes de la laisser là, de ne pas l'amener ailleurs que cet endroit auquel elle s'agrippe fortement, ses petites mains pleines de sable.


nadine bissonnette

Je rejoins Nadine à son point de saucette secret
à Les Coteaux. C'est dans ce coin tranquille qu'elle vient se rafraîchir l'été, pas longtemps mais souvent. Elle peut venir se jeter à l'eau
tout habillée lorsqu'elle revient d'une balade
en vélo. C'est spontané, sans chichis. Elle me dit que c'est une richesse d'avoir accès à ça
au quotidien. Sa relation avec le paysage ici
est liée à la baignade.

Elle me parle du point de vue qui se dévoile lorsqu'on est dans l'eau et qu'on s'éloigne
des berges. Elle me décrit ce sentiment
de connexion avec son environnement qu'elle ressent quand elle entre dans l'eau, ses pieds s'avançant sur le fond sablonneux. Ça nettoie,
ça lave les inquiétudes. C'est un sentiment
que seule la baignade dans un cadre naturel
peut procurer.
On ne le trouve pas chez Club Piscine.
Photo

Photo


nathalie paquette

Nathalie me donne rendez-vous au silo à grains abandonné en face du 401, chemin Saint-Guillaume à Sainte-Marthe. Elle ne peut s'empêcher de l'observer chaque fois qu'elle passe devant, c'est-à-dire presque tous les jours, mais elle ne s'y est jamais arrêtée. Là, on s'arrête. Elle me parle des couleurs avec ses yeux de peintre. Celles, complémentaires, du dégradé passant du turquoise au rouille qui descend du silo. Celles, aussi, changeantes, du paysage environnant, où se dessine la démarcation entre le ciel et la terre. Elle me parle du passage du temps, des vestiges laissés par l'humain que la nature se réapproprie, comme un rappel que nous ne sommes pas éternels. En plein déménagement dans une maison ancestrale, Nathalie me confie que ce projet est une belle opportunité pour l'obliger à prendre une pause pour faire quelque chose qu'elle aime - un projet artistique. Elle reviendra s'asseoir sur le site pour observer et dessiner; pour prendre le temps de s'arrêter.


robert boyer

C'est au parc historique de la Pointe-du-Moulin
à Notre-Dame-de-l'Île-Perrot que Robert m'a donné rendez-vous. Adepte de photographie, c'est ici
qu'il vient pour "se perdre dans la nature"
et pour, en retour, trouver l'inspiration quand il en a besoin. Le parc est riche en textures sonores et visuelles, mais aussi en histoire. Son moulin nourrit l'imaginaire, invite à se projeter dans d'autres espaces-temps. C'est un lieu paisible
mais énergisant qui reconnecte Robert
à sa créativité. Même aujourd'hui, il a apporté
son appareil-photo.

Comme ce participant voit et vit ce paysage
à travers la photographie, je lui ai demandé
de me fournir une photo pour le projet.
Photo

Photo


sophie daoust

J'ai rendez-vous avec Sophie au Quai des Cèdres.
Ce lieu public au coeur du village permet à tous d'avoir accès à l'eau, dont les rives ont été largement privatisées avec le temps. Native de l'endroit, elle a un attachement particulier à l'eau en général, mais
en particulier à ce qu'elle appelle "son bout de fleuve". Elle me parle de l'importance de cultiver la faculté de s'émerveiller de ce qu'on a chez soi, même si c'est familier. Elle illustre son propos avec une histoire. Alors qu'elle était en visite chez des membres de la belle-famille au Lac-Saint-Jean, elle demande d'aller voir le lac, elle qui ne l'a encore jamais vu. Son hôtesse lui répond que "c'est juste un gros trou d'eau". C'est alors que Sophie a eu un déclic. Elle s'est dit qu'elle ne voudrait jamais devenir comme ça, quelqu'un qui ne voit plus le beauté de ce qui l'entoure, qui la banalise. Depuis, quand des gens la visitent aux Cèdres, elle se fait un plaisir de partager avec eux ses endroits préférés, commme elle l'a fait avec moi aujourd'hui.


valérie langlais

Valérie, l'exploratrice, la collectionneuse.
Nous parcourons ensemble un tronçon de la piste cyclable du canal de Soulanges, à partir de la rue Saint-Antoine. Elle l'arpente régulièrement
pour prendre l'air, se changer les idées, s'inspirer pour un projet artistique, marcher, discuter, courir. Mais quand la lumière est trop belle,
elle aime observer les lignes, l'architecture intégrée à la nature, la flore. Enfant, à Saint-Bernard-de-Lacolle, elle et sa soeur étaient toujours à l'extérieur. La flore y est similaire ici, lui donnant ainsi l'impression de parcourir
un décor familier, dont elle prélève inlassablement des échantillons.

Ici comme ailleurs, elle collectionne les textures en photo, enregistre des sons, s'imagine
des histoires, ramasse des morceaux du dehors.
Photo

Photo


yolande parent

Lorsque je rejoins Yolande au grand quai
de Les Coteaux, celle-ci a tout préparé.
Elle me remet un document, qui est un condensé d'informations sur l'histoire du quai du village autrefois appelé Coteau-Landing, informations tirées de publications qu'elle a réalisées
sur l'histoire de Les Coteaux. Elle a même apporté les ouvrages de référence pour me montrer des photos. Son exposé me fait remonter le cours du temps. Je réalise que Yolande voit et apprécie
le paysage à travers son histoire. Elle est avide de la connaître et de la partager avec les autres.

Ainsi, lorsqu'elle regarde le grand quai, elle peut s'imaginer l'élévateur à grain qui n'est plus,
les bateaux de croisière qui y venaient, l'ancien grand quai de bois... Tous ces éléments du passé
se superposent sur le paysage actuel et lui donnent, à ses yeux, sa richesse. Pour elle, ce patrimoine
est une fierté collective.


à propos d'audrey sambeau



Dans ses projets multidisciplinaires, Audrey Sambeau s’intéresse à la façon dont le territoire et l’environnement habitent les gens et contribuent
à façonner leur identité et leur vision du monde. Elle scrute les habitats, intérieurs et extérieurs. À l’ère de la technologie triomphante,
elle aspire à créer des occasions et des espaces où les utilisateurs puissent se déconnecter et se reconnecter entre eux, avec leur environnement
et avec les matières brutes.

L’objectif est que ces espaces ou œuvres favorisent leur bien-être, poétisent leur quotidien et développent leur attention au monde.
Les tentatives sont souvent contemplatives. Originaire de Salaberry-de-Valleyfield, elle n’a jamais su s’éloigner trop longtemps d’une rive.


Projet réalisé grâce au soutien financier du Conseil des arts et de la culture de Vaudreuil-soulanges

Photo

ACCUEIL

CACVS

À PROPOS
CA (ÉQUIPE)
RÉALISATIONS
POLITIQUE CULTURELLE
GOUVERNANCE

NOUVELLES

RÉPERTOIRES

ARTISTES PAR MUNICIPALITÉ
ARTISTES PAR DISCIPLINE
ORGANISMES

CALENDRIER

PROGRAMMES

APPELS DE PROJETS
TRACE V-S

SUIVEZ-NOUS !

COMMUNIQUEZ AVEC NOUS

DEVENIR MEMBRE

CULTURE VIRTUELLE


Coordonnées de la responsable de la protection des renseignements personnels
Pour toute question au sujet du traitement ou de la mise à jour de vos renseignements personnels ou pour nous faire part de toute préoccupation à cet égard, veuillez communiquer avec nous à l’adresse courriel suivante : [email protected] ou par téléphone au 450 455-5754. La personne responsable de la protection des renseignements personnels prendra contact avec vous dans les trente (30) jours suivant la réception de votre courriel.

Photo
Photo

CONSEIL DES ARTS ET DE LA CULTURE DE VAUDREUIL-SOULANGES  2024 ©
Photo
Photo
  • Accueil
    • ACTUALITÉS >
      • Nouvelles
      • CALENDRIER
  • Appels de projets
  • RÉPERTOIRES
    • ARTISTES PAR MUNICIPALITÉ
    • ARTISTES PAR DISCIPLINE
    • ORGANISMES
  • CULTURE VIRTUELLE
    • OFFRES CULTURELLES
    • GALERIE VIRTUELLE >
      • TRACE 2019-2020
      • TRACE 2020-2021
      • TRACE 2021-2022 >
        • Gabrielle Lalonde
        • Marie-Soleil Poliquin
        • Isabelle Thibert
        • Natacha Marleau
      • TRACE 2022-2023 >
        • MARYSE HARVEY
        • STÉPHANIE VIENS
        • ÉMILIE PARENT
        • CHANTAL BOURQUE
        • ESTELLE PARYNZEWSKI
      • TRACE 2023-2024 >
        • Julie Martel
        • Jade Cousineau
        • Valérie Trudel
        • Sylvie Lavallée
        • Véronique Dubé
      • Ces paysages qui nous habitent
      • TERRE-MAIRES 2
      • LA MIE
    • BOITE À OUTILS
  • PROGRAMMES
    • PROGRAMME DE TOURNEE >
      • PROJET ARCHIPEL
      • La Danse des Mains
    • PROGRAMME DE BOURSES >
      • BOURSES 2021
      • BOURSES 2022
      • BOURSES 2023
      • BOURSES 2024
  • DEVENIR MEMBRE
  • À PROPOS DE NOUS
    • CA (équipe)
    • Réalisations
    • Politique culturelle
    • Gouvernance
  • Contact
  • TRACE 2024-2025
    • Jacinthe Durand
    • Ghyslaine Payant
    • Stéphane Falardeau
    • Marie-Pier Gamache
    • Annika Diehl
    • Jean-Philippe Vachon
  • CONTAMINATION CULTURELLE 2025