[COMMUNIQUÉ]​  

​La Ville de Vaudreuil-Dorion est fière d’inviter ses citoyens à assister à une soirée-rencontre avec Jérôme Charlebois, ce vendredi 6 avril, à 19 h, à la Maison Félix-Leclerc. Cet événement intimiste s’inscrit dans la programmation La Mèz.

Jérôme Charlebois baigne dans l’univers artistique depuis son plus jeune âge. C’est donc tout naturellement qu’il se consacre à la musique, en gardant évidemment un style bien à lui. Fils du monument de la chanson francophone Robert Charlebois, l’auteur-compositeur-interprète prépare cette année un nouvel album qui soulignera ses 10 ans de carrière. Lors de son passage à la Maison Félix-Leclerc, les gens auront la chance d’échanger en toute intimité avec lui. En plus de se confier à son public, Jérôme offrira généreusement quelques prestations acoustiques, dans ce lieu inspirant et créatif qu’est le salon de Félix !

​Cette soirée-rencontre est gratuite et aucune inscription n’est requise. Comme les places sont limitées, les gens sont invités à arriver tôt.

​​En collaboration avec le Centre d'archives de Vaudreuil-Soulanges, le CACVS est fier de présenter les JeudisNostalgie. Tous les jeudis , une photo d'époque tirée de la collection du Centre d'archives de Vaudreuil-Soulanges.

La région de Vaudreuil-Soulanges est un plaque tournante pour le domaine du transport, vu sa situation géographique, et les nombreux axes routiers qui la traversent. Cet état de fait ne date pas d'hier, comme en témoigne l'image de cette semaine.

​Cette photo fut prise vers 1950 devant les bureaux et le garage de la compagnie McCallum Transport à Saint-Zotique, qui offrait du transport de véhicule neuf entre les villes d'Oshawa et Montréal.  

Rappelons qu'à l'époque, l'autoroute 20 n'existait pas, ce qui fait que tout le trafic routier vers Montréal transitait par la route 338 qui longe la rive du Fleuve St-Laurent.

[COMMUNIQUÉ] Vaudreuil-Dorion, le 4 avril 2018
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Le Conseil des arts et de la culture de Vaudreuil-Soulanges est très fier d’annoncer un nouveau partenariat avec la Chambre de commerce et d’industrie de Vaudreuil-Soulanges, permettant le rayonnement d’artistes et favorisant les maillages avec la communauté d’affaires.

Dans le cadre de l’installation de la CCIVS dans ses nouveaux locaux, les deux organismes ont conclu une entente, prévoyant la tenue de deux expositions artistiques par année dans la salle de conférence de la CCIVS.

La première exposition est celle de l’artiste-peintre de Coteau-du-Lac, René Tellier, qui a répondu à l’appel lancé par le CACVS. Les oeuvres de monsieur Tellier égayeront les murs de la salle de conférence jusqu’au 15 juillet prochain.

​Selon Nadine Maltais, directrice générale du CACVS: “Je suis heureuse de ce maillage qui laisse présager une collaboration plus étroite avec la CCIVS et le milieu qu’elle représente, ce qui ne peut que servir le développement culturel de Vaudreuil-Soulanges.”

Les oeuvres exposées ont été soigneusement sélectionnées par l’artiste lui-même en collaboration avec l’équipe de la CCIVS, de façon à mettre à la fois les œuvres et les lieux en valeur.

Josiane Farand, qui siège au sein des conseils d’administration des deux organismes et qui a participé au développement du partenariat s’est dite enthousiaste face à cette collaboration prometteuse. Madame Farand a également invité les artistes intéressés à rester à l'affût des opportunités à venir. En effet, un deuxième appel de projet sera lancé d'ici l'automne. 

Comme le soulignait Nadine Lachance, directrice générale de la CCIVS lors du 5 à 7 d’inauguration des nouveaux locaux: “Depuis quelques années, la CCIVS se fait un devoir d’inclure la culture dans diverses activités de la programmation annuelle.  Un premier partenariat de la sorte permet de contribuer au rayonnement d’artistes de la région mais également à celui du CACVS. Ce partenariat vient appuyer le rôle de la Chambre qui est d’être un agent de référencement important dans Vaudreuil-Soulanges.”

L’hiver 2018 fut particulièrement occupé pour l’artiste en arts visuels de Les Cèdres Manon Côté. En effet, celle-ci a passé pas moins d’un mois à prélever l’empreinte des surfaces du centre historique de la ville de Mazatlán pour ensuite préparer une exposition présentant les résultats de ce travail.

L’idée de ce projet est née suite à des vacances où l’artiste avait visité la ville mexicaine.  “Lorsque j’ai visité la ville, j’ai été époustouflée; la texture, les murs, les boiseries, ça m’a émue.” De retour au pays, le tourbillon de la vie professionnelle a repris et c’est suite à son exposition solo au Musée régional de Vaudreuil-Soulanges en 2016 qu’elle a pris sa décision: elle allait prendre des empreintes du centre historique de Mazatlán.

Évidemment, un tel projet ne s’improvise pas. Madame Côté a commencé par rédiger tout son projet et a fait traduire celui-ci en espagnol. Éventuellement, elle est retournée visiter le Mexique et s’est rendue au consulat canadien, qui l’a référée à la mairie de la ville. Elle a éventuellement été mise en contact avec le directeur de la société historique ainsi que la directrice du Museo de Arte. Chaque intervenant à qui elle présentait le projet était emballé. Tant et si bien que Cecilia Sanchez Duarte, la directrice du musée lui a immédiatement offert une exposition en mars 2018. À la grande joie de l’artiste, en une semaine à peine, tout était réglé. “C’était comme un rêve! J’aurais pu rêver ça, ça n’aurait pas été aussi beau!”

C’est ainsi qu’en compagnie de son conjoint, Gérard Juneau, madame Côté a arpenté les rues du centre historique pour transformer les textures des murs, des portes, et de toute surface qui l'inspiraient, en œuvres d’art.

Le processus débutait en déposant des papiers japonais sur des surfaces texturées pour ensuite y appliquer un rouleau encré. Ces grands papiers étaient ensuite ramené en atelier pour que l’artiste y appose sa touche, soit avec de la peinture, de l’aquarelle, ou de l’acrylique. Les résultats parlent d’eux-mêmes. “Chaque empreinte a son monde, c’est le début de quelque chose, ça m’inspire.”

​En plus de sa production artistique, madame Côté a eu l’opportunité d’animer des ateliers où elle a partagé sa technique de prise d’empreinte avec des artistes locaux. Au cours de ces ateliers, elle a amené les participants dans les rues autour du musée, à la découverte des nombreuses textures de leur ville.

Elle a également eu la chance de prononcer une conférence  sur sa production artistique à l’occasion de la journée internationale des droits de la femme et a même été invité à participer à une émission de télévision locale qui présentait des portraits de femmes.

​L’artiste et son processus créatif ont suscité beaucoup d’intérêt chez la population locale. En effet, pendant la prise d’empreinte, nombreux étaient ceux qui s'arrêtaient pour demander ce qu’elle faisait. Le conjoint de madame Côté prenait donc le temps de leur expliquer. La presse locale s’est même mise de la partie en publiant des articles au sujet de l’artiste et du projet. Évidemment, un tel projet a permis à l’artiste de faire des rencontre enrichissantes à tous points de vue.

Les œuvres créées dans le cadre de ce projet sont exposées jusqu’au 11 mai prochain au Museo de Arte de Mazatlán. 

Madame Côté travaille présentement à d'autres projets d'exposition, notamment une exposition de groupe à l'automne 2018, plus près de chez nous, cette fois-ci.