Courtoisie: Parc historique de la Pointe-du-Moulin- Crédit photo: Julie Laframboise [COMMUNIQUÉ] – Le retour des beaux jours annonce la réouverture du Parc historique de la Pointe-du-Moulin! L’équipe d’animation trépigne d’impatience face à cette nouvelle saison qui propose des activités variées mettant en valeur la richesse du patrimoine lié aux bâtiments historiques du Parc et la splendeur de la nature qui les entoure. En plus des visites guidées du moulin à vent et de la maison du meunier offertes tous les jours, certains événements incontournables ont su se tailler une place dans la programmation au fil des ans. C’est le cas notamment des Marchés antiques (27 mai et 16 septembre), de l’exposition des voitures anciennes (22 juillet), de la Fête du maïs (5 août) et du Festival de la S.O.U.PE. (2 septembre). Toujours soucieuse de redonner vie à l’histoire, la Pointe-du-Moulin accueillera tout au long de la saison des démonstrations de métiers d’époque. Fabricant de sabots, coureur des bois et tourneur sur bois, ne sont là que quelques exemples des artisans que vous croiserez cet été au Parc.
Le 19 mai, une nouvelle saison débute officiellement à la Pointe-du-Moulin. L’an dernier, tout près de 20 000 personnes ont visité le moulin à vent vieux de 300 ans, soit une augmentation notable de l’achalandage. Mais gageons qu’en 2018… ils seront encore bien plus nombreux! La programmation complète est disponible sur le tout nouveau site web : www.pointedumoulin.com Le Parc historique de la Pointe-du-Moulin est situé au 2500 Boulevard Don Quichotte, Notre-Dame-de-l'Ile-Perrot, Qc, J7V 7P2. Téléphone: 514-453-5936 - [email protected]
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Les élèves du groupe Art-Études, volet arts plastiques de l'école secondaire du Chêne-Bleu en compagnie de Nadine Maltais, directrice générale du CACVS; Denise Godin-Dostie, vice-présidente du CACVS et mairesse de Les Coteaux; et de l'ensemble des collaborateurs au projet. Crédit photo: Josiane Farand Mise à jour 22 août 2018: L'exposition Capture ton patrimoine est présentement installée à la bibliothèque de la Ville de Pincourt et ce, jusqu'au 20 octobre prochain. Il s'agit d'une opportunité unique d'aller voir l'ensemble des œuvres avant qu'elles ne soient remises aux maires et mairesses de Vaudreuil-Soulanges. C’est avec fierté que le Conseil des arts et de la culture de Vaudreuil-Soulanges a procédé hier au dévoilement de l’exposition Capture ton patrimoine à la Maison du Patrimoine- Édifice Laurier-Léger à Les Coteaux. L’automne dernier, les élèves du groupe Art-Études, volet arts plastiques de l’école secondaire du Chêne-Bleu ont eu l’opportunité de participer à un projet combinant architecture, patrimoine et photographie: le concours Capture ton patrimoine, rendu possible grâce à une entente de développement culturel entre le Ministère de la culture et des communications du Québec et la MRC de Vaudreuil-Soulanges. Mandaté pour la mise en œuvre du projet, le Conseil des arts et de la culture de Vaudreuil-Soulanges a choisi de collaborer avec le Musée régional de Vaudreuil-Soulanges et Marianne Charland, photographe, pour réaliser les activités et l’exposition. Les étudiants ont reçu des formations en aménagement du territoire et en patrimoine, ainsi qu’en initiation à la photographie. Ils ont ensuite visité le territoire de Vaudreuil-Soulanges et croqué des photos dans chacune de ses 23 municipalités, en compagnie d’Édith Prégent, experte en patrimoine du Musée régional de Vaudreuil-Soulanges et de madame Charland. Chaque étudiant du groupe s’est inscrit au concours québécois Capture ton patrimoine, coordonné par l’organisme Action patrimoine, et a vu une de ses photos soumises au concours. L’exposition présentée réunit les meilleurs clichés de chaque municipalité de Vaudreuil-Soulanges et se veut le point culminant de ce projet enrichissant. Un aperçu des 23 oeuvres présentées dans le cadre de l'exposition Capture ton patrimoine L’équipe du CACVS était heureuse de recevoir les convives au dévoilement, dont plusieurs maires et mairesses de la région qui ont découvert avec intérêt la qualité et l’originalité du travail des élèves. Ceux-ci ont d’ailleurs témoigné de leur expérience positive, qui leur a permis non seulement de développer leurs connaissances techniques en photographie, mais surtout de poser un regard neuf sur leur région. Selon Alec Beiger: “Après cette expérience, nous avons une nouvelle vision de ce qui nous entoure. Nous avons vu des côtés différents des municipalités voisines et le patrimoine qui raconte l’histoire de la région et du pays.” Le projet a également permis de mettre en lumière l’importance de la protection du patrimoine pour notre région. Pamela Zhang a d’ailleurs informé l’assistance que suite à l’exposition, “les œuvres créées seront léguées à chaque municipalité, en guise de message pour transmettre l’idée de bien protéger et mettre en valeur son patrimoine”. Les élèves ont par ailleurs tenu à souligner l'engagement dévoué de leur enseignante titulaire, Valérie Langlais, qui les a soutenu tout au long de ce projet de longue haleine. Quelques images de la soirée, qui fut très appréciée des invités- Crédit photo: Josiane Farand Comme l’a mentionné Denise Godin-Dostie, mairesse des Coteaux et vice-présidente du CACVS: “Cette exposition témoigne du travail des 19 élèves et illustre non seulement la grandeur de leur créativité mais aussi les richesses de notre territoire. À Les Coteaux, nous croyons fermement au patrimoine comme instrument de fierté et moteur de revitalisation.” Enfin, le CACVS était fier de remettre un certificat cadeau de 25$, offert par HACHEM, à chaque élève ayant participé au projet ainsi qu'une impression de leur oeuvre, offerte par Josiane Farand, photographe. Le CACVS tient à remercier ses partenaires, essentiels au succès de ce projet: l’école secondaire du Chêne Bleu; le Musée régional de Vaudreuil-Soulanges; Josiane Farand, photographe; Kübbii et HACHEM. L’exposition Capture ton patrimoine se poursuivra jusqu’à la fin de l’été 2018. Le public pourra admirer les oeuvres lors des événements produits par la municipalité des Coteaux, notamment lors des festivités de la Fête nationale, les 23 et 24 juin prochains. Les Deux Visages- Courtoisie Émilie Léger À chaque mois, nous faisons le portrait d’un artiste qui s’illustre, ici ou ailleurs. Ce mois-ci l’artiste du mois est Émilie Léger, qui expose à la Maison Trestler jusqu’au 3 juin prochain dans le cadre de TRACE. Traquer la Relève Artistique et Culturelle en Émergence (TRACE) est une initiative portée par quatre lieux de diffusion de la Vallée du Haut Saint-Laurent, soit le Musée régional de Vaudreuil-Soulanges, la Maison Trestler, la Salle Alfred-Langevin de Huntingdon et le MUSO, Musée de Société des Deux-Rives de Salaberry-de-Valleyfield. L'initiative TRACE vise à contribuer à l’amélioration des conditions socioprofessionnelles des artistes de la relève, à accroître leurs possibilités de diffusion et de création, ainsi que leur reconnaissance par le milieu culturel régional, avec l’objectif de créer un milieu encore plus attractif et distinctif pour les jeunes artistes. Une des quatre artistes sélectionnées pour l’édition 2018 est Émilie Léger, artiste multidisciplinaire de Pincourt et l’artiste du mois de mai au CACVS. Émilie Léger "Le Journal d’Alice"; c’est ainsi qu’Émilie Léger a intitulé son exposition pour le projet TRACE, en guise de souvenir de grossesse et d’hommage à sa fille qui est née très récemment. “Pour moi, il y a une symbolique: la naissance du bébé et celle de l’exposition, celle-ci aura été préparée durant ma grossesse, et je pourrai aller la voir avec ma fille”. Le Journal d'Alice est composée d’œuvres déjà créées et de pièces réalisées spécialement pour l'occasion alors que l'artiste était enceinte de sa fille. Pascale Jeaurond-Lajoie du Musée régional de Vaudreuil-Soulanges, Chantal Séguin, commissaire de l'exposition, Émilie Léger et Valéry Filion de la Maison Trestler lors du vernissage du Journal d'Alice. Au premier coup d'oeil, on ressent l’onirisme qui se dégage des oeuvres d'Émilie Léger. En effet, les créatures éthérées, qui flottent dans un univers de couleurs vives, donnent l’impression d’avoir traversé un miroir pour se retrouver dans un rêve. La démarche qu’emploie l’artiste est unique en son genre. En effet, celle-ci crée ses oeuvres en combinant l’art numérique et la peinture. Après avoir créé un montage numérique à partir d’une photo qui l’inspire en y ajoutant des textures et des couleurs, elle imprime l’oeuvre sur papier ou sur toile et y appose sa touche finale à l’aquarelle ou à l’acrylique. Le résultat est spectaculaire et on reconnaît immédiatement la touche d'Émilie Léger. Courtoisie Émilie Léger L’artiste est venue à utiliser cette technique un peu par hasard. En effet, madame Léger a toujours eu un intérêt pour la peinture et a beaucoup créé à l’époque où elle étudiait au CEGEP. Lors d’un projet en cinéma, elle découvre des logiciels de traitement d’image et les possibilités qu’offrent ceux-ci de combiner l’art à la pratique technologique. Alors qu’elle trouvait que les images entièrement numériques étaient trop “technologiques”, elle s’est mise à ajouter sa touche artistique à ses créations, développant ainsi son expertise unique. Tel que le mentionne madame Léger, relativement peu d'artistes ici combinent l'art numérique et la peinture. En ce sens, elle fait bon usage des médias sociaux pour développer son réseau et tisser des liens avec des artistes qui partagent son intérêt pour le numérique et les amalgames intéressants qui en résultent. En plus de continuer à peaufiner sa pratique artistique, madame Léger donne des ateliers de création numérique. Les prochains mois seront plutôt chargés pour l'artiste qui complétera sa formation universitaire en gestion de projets créatifs, avec l'objectif éventuel d'offrir du coaching en gestion de carrière. Les amateurs qui n'auraient pas encore vu l'exposition seront heureux d'apprendre que Le Journal d'Alice se poursuit jusqu'au 3 juin prochain à la Maison Trestler, au 85, rue de la Commune, Vaudreuil-Dorion, J7V 2C3. Pour en savoir plus long au sujet d'Émilie Léger, consultez son site web.
Une exposition consacrée aux familles pionnièresde l’île Perrot à la bibliothèque Guy-Godin5/9/2018 Paul-André Daoust et des enfants. Source : Collection SHGIP. [COMMUNIQUÉ] —La Société d’histoire et de généalogie de l’île Perrot (SHGIP) a inauguré à la bibliothèque Guy-Godin une exposition de bannières portant sur l’histoire de 12 familles pionnières de l’île Perrot en présence de Monsieur Pierre Séguin, maire de la Ville. Présentée à la bibliothèque Guy-Godin, l’exposition dévoile sur douze bannières les lignées ancestrales d’autant de familles de l’île Perrot. On y découvre également les cadastres de l’île Perrot de 1817 et de 1881 montrant les lots et les concessions où ces ancêtres ont vécu à compter du XVIIIe siècle. Dans une brève allocution, Monsieur Pierre Séguin, maire de la Ville, a noté qu’il s’agit d’un important travail de mémoire et de valorisation de notre histoire locale que la Société d’histoire a réalisé grâce au travail de recherche fourni par ses membres. Durant leurs recherches, les membres de la SHGIP ont découvert que les De Repentigny doivent leur nom à Jean-Baptiste, fils naturel du seigneur de Repentigny, élevé par sa tante à Pointe-Claire. Une des douze affiches est consacrée à la famille Daoust et rappelle les origines de Léopold et Paul-André Daoust qui ont tenu la boulangerie de la Petite Côte pendant plusieurs décennies et qui assuraient la livraison du pain à domicile, peu importe les conditions météorologiques. Les bannières sont illustrées d’extraits d’actes de baptêmes ou de mariages et de photographies provenant des archives de la Société ainsi que des familles qui y sont présentées. Les principaux chercheurs de la SHGIP sont Mmes Carole Bourbonnais, Laurette Éthier, Diane Leduc, Danièle Lefebvre et Lise Vézina ainsi que MM. André Leduc et Rock Lessard. L’ensemble de l’exposition a été supervisé par Mme Lise Chartier, auteure et historienne de l’île Perrot, présidente de la SHGIP. L’exposition est visible jusqu’au 4 juin aux heures d’ouverture de la bibliothèque Guy-Godin au 300, boulevard Perrot, à L’Île-Perrot, pour découvrir ces familles dont les descendants sont encore présents dans l’île Perrot. L’entrée est gratuite pour tous. En collaboration avec le Centre d'archives de Vaudreuil-Soulanges, le CACVS est fier de présenter les JeudisNostalgie. Tous les jeudis , une photo d'époque tirée de la collection du Centre d'archives de Vaudreuil-Soulanges. Fût une époque où le territoire de Vaudreuil-Soulanges était constellé de gares autour desquelles s'établissaient les communautés, comme en témoigne l'image de cette semaine. Fonds Famille Cholette- P088- Propriété du Centre d'archives de Vaudreuil-Soulanges Cette image, prise en 1934, nous montre De Beaujeu, localité qui fait aujourd'hui partie de la municipalité de St-Polycarpe. Tel qu'indiqué sous la photo, on y voit Renée Constant, Gabie et la petite Thérèse de 2 ans et demi. |
Archives
Janvier 2025
AuteurKarina De Nobriga |
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